Auteur : Lia Habel
Edition : Castelmore
Duologie : New Victoria (tome 1)
Nbr de pages : 574
Date de parution :17 août 2012
Mon avis
Ça faisait
un moment que New Victioria trainait
dans ma pal, je me suis donc dit que j’allais enfin le lire. J’avoue que avant
de l’acheter je m’étais vaguement renseignée dessus, faute de quoi, lorsque je
l’ai commencé, j’ai été complétement abasourdie de découvrir qu’il parlait de
zombis. Parce que ouaip, je ne suis pas fan des histoires de zombis. Mais bon,
le livre avait quand même pas mal l’air intéressant et j’ai donc continué ma
lecture. Et puis vu qu’il fait 574 pages, en tant que fan des grosses briques
(dans ma tête grosses briques = forcément bien développé), je me suis dit que
ça ne pouvait que me plaire.
Grosses
erreur de ma part. Les 3 choses qui au final m’ont plus dans ce livre sont l’humour,
la narration au journal collectif et le schéma de l’histoire.
Je n’ai
pas accroché dès le début du livre, ce qui était déjà mal partit, bien que souvent
je finis par me fondre dans ma lecture au bout des 20 premières pages. Ce qui n’a
pas été le cas cette fois-ci. Dès l’instant où je commençais à apprécier, la
page suivant, je recommençais à m’ennuyer à mourir. C’est l’une des choses que
j’ai le plus détestées dans ce livre. Ce n’est pas le vraiment le manque d’action,
ni le surdéveloppement, mais plutôt le ton morose de la narration. Bien que
nous passions du point de vue d’un personnage à l’autre (ce que j’appelle le
journal collectif) je n’ai pas senti de grande distinction entre le caractère, la façon de s’exprimer des
personnages. Ils parlent tous de la même
façon, comme on parlait à l’époque victorienne et j’ai trouvé ça trop lourd. Rajoutez
en plus la lenteur de l’histoire et ça donne l’envie de terminer ce livre au
plus vite.
En plus
de cela, alors moi qui croyais tomber sur un « amour immortel qui ignore
les frontières entre la vie et la mort », je me suis fait arnaquée de plus
belle. Il faut attendre la fin du livre pour qu’enfin le moment tant attendu se
passe.
Et puis
ensuite à certains moments je n’arrivais plus à suivre. Ce livre contient un
nombre perturbant de personnages et il faut bien s’accrocher pour retenir qui
est qui.
Fort
heureusement, certains des personnages sont tout de même parvenus à me divertir
à quelques moments de ma lecture. Un bon point pour Miss Habel.
J’étais
très contente aussi de pouvoir ajouter cette auteur à liste de ceux qui
utilisent le journal collectif. Lia Habel rejoint donc Maggie Stiefvater, Tessa
Gratton et apparemment Lauren Oliver pour Panic.
Le
livre est noté comme dystopie steampunk, mais le schéma ne correspond en rien à
ces deux genres. Ouf pas de triangle amoureux à l’horizon ! Et moi j’aime
bien les auteurs qui écrivent des histoires et non des genres.
J’ignore
si le genre Steampunk n’est pas fait pour moi, ou si cette histoire-ci n’était
pas pour moi. Ou si c’était juste le mauvais livre au mauvais moment – lire un
gros livre lent après une magnifique histoire d’amour et de princesse en ayant
un livre bien précis en tête c’est-à-dire
Revanche, est peut être une mauvaise idée. Mais voilà, New Victoria, a été juste une lecture sympa sans plus. Mais ce n’est
pas parce que je n’ai pas aimé que c’est forcément mauvais. Donc si vous aimez
bien les histoires de zombis avec la romance au dernier plan, je vous le
recommande.
En bref :
Une histoire de zombis située
à la période victorienne version moderne !
J'avais vraiment beaucoup aimé ce livre ! J'ai hâte de lire la suite que j'ai dans ma PAL :)
RépondreSupprimerIl me tente depuis un moment mais j'hésite à tenter ^^
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