Auteur : John Green
Editeur : Nathan
Date de parution : 21 février 2013
Nbr de pages : 327
Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier
traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait
condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de
soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades. C’est là qu’elle rencontre
Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la
littérature.
Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate.
Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation
dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite
dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.
Mon avis

J’ai carrément honte de le dire, mais voilà après un mois, j’ai fini de
lire Nos étoiles contraires (oui vous
avez bien lu, un moi, oui, je sais c’est terriblement horriblement scandaleux).
Et je ne sais pas par ou commencer cette chronique. Je pourrais vous donner
mille est une raisons qui ont fait que je sois restée si longtemps bloquée sur
ce livre, mais en vérité ce serait plutôt mille et une excuse. Bon d’accord, il
y eu le fait que nous avons eu de la visite à la maison et qu’on est sorti
beaucoup en famille. Que j’ai beaucoup passé de temps à écrire, chercher des
images sur le net, créer des fan art et m’occuper de mes deux blog tumblr. Mais
en vérité il s’est passé quelque chose que je n’arrive pas à définir à un
moment donné qui a fait partir ma motivation de départ que j’avais à lire ce livre.
Peut-être qu’à ce moment donné j’ai compris que Nos étoiles contraires n’était pas le livre que je croyais et que j’ai
eu trop peur d’être déçue.
Oui, parce que dès que j’ai commencé à le lire je me suis dit « Hé je
l’aime bien cette Hazel ! » Mais Nos
étoiles contraires était un peu trop violent pour mon cœur et au bout de
quelques pages, il s’est passé ce truc inexplicable que j’aurais aimé qui n’arrive
pas. J’aurais aimé refermer ce livre en larmes, complétement déboussolée et
réclamant encore plus. Je crois qu’en réalité et tout simplement j’aurais aimé
ressentir ce que je ressens quand je referme un livre de Cat Clarke. En fait c’est
ça le problème, c’est que je veux un livre de Cat Clarke. Pour faire
simple, c’est comme si vous donniez de
stupides croquettes à un chien après lui
avoir fait goûter aux restes d’un bon steak. Le chien ne veut plus de
croquettes, il veut que du steak ! C’est un peu ce que je ressens. J’ai
goûté aux livres de Cat Clarke et je ne veux plus que des livres de cette
auteur !
Ce n’est pas seulement ce qui m’a posé problème. J’aurais voulu que Mr
Green laisse plus de temps à la romance entre Gus et Hazel. J’aurais aussi aimé
qu’il ne spoil pas tant les œuvres dont il parle. Prenons un exemple, dans 16 lunes mes admirables mesdames Garcia
et Stohl parlent de Ne tirez pas l’oiseau
moqueur vaguement, mais suffisament pour me donner envie de lire. Ici, j’en
sais trop, du coup, ça ne me donne pas envie de lire Une impériale affliction.
Je n’ai pas eu non plus l’impression de bien ressentir ce qu’Hazel
ressentait vis-vis de Gus et de tout ce qui lui est arrivé. Ça m’a gênée
horriblement.
Et des tas d’autres choses m’ont gênée. Mais peut-être est-ce moi qui ne
comprend rien au génie de Mr Green. Peut-être n’ai-je pas été assez attentive,
trop occupée à rêver après Revanche.
Quoiqu’il en soit, Nos étoiles
Contraires est parvenue à me faire pleurer et je prend ça comme un bon
point. Vers la fin, alors que je n’y croyais plus, le livre m’a frappée de
plein fouet. Il m’ a touchée, m’a fait réaliser certaines choses. Et grâce aux
mots, à certaines phrases que j’ai trouvées magnifiques, ça aura été une belle
lecture.
J'avais adoré ce livre <3
RépondreSupprimerEn même temps, Une impériale affliction étant un livre fictif, je ne pense pas que John voulait te donner envie de le lire.. ^^
RépondreSupprimerDommage que tu n'aies pas aimé autant que prévu. :)
En effet, c'est un livre fictif, je viens d'aller voir. C'est juste qu'au début, il y a une citation du livre, du coup, j'ai pensé qu'il existait vraiment et j'ai oublié d'aller vérifier... quel courde je suis ! Oui, je suis déçue de ne pas avoir aimé autant que j'aurais voulu :/
SupprimerJ'aime beaucoup ce livre, mais je n'ai pas été extasiée comme d'autres. Ce n'est pas cette histoire que je retiendrais si on me parle de ressentir quelque chose de très fort en fait !
RépondreSupprimerBisous ^^
Salut. Et bien moi j'ai vraiment adorée ce livre même si pour moi c'était comment dire ça, du "déjà vu ?" .C''est vrai que l’écriture de J.Green est très belle mais écrire une histoire (fictive) sur une ado cancéreuse qui tombe amoureuse et qui fini mal me fais penser aux romans de Nicholas Sparks HEY OUI . Mais j'admet que ce livre est littéralement touchant et émouvant . Je suis d'accord avec toi lorsque tu dit que "Mr Green" n'a pas laissé le temps à cette merveilleuse et à la fois triste histoire d'amour. Je me suis peut être trop attaché au personnage de Hazel et Gus pour les voir se séparer. Je l'ai lu en 2jours (comparé à toi :) *hihi*) et j'ai vraiment été transporté même TROP transporté puisqu'à la fin ou même dès le 20eme chapitre j'ai fondu en larmes (comme une madeleine) je te promet ! Mais lorsque j'ai fermé le livre et que j'ai arrêté de pleurer j'me suis senti vidé comme si cette histoire m'appartenais.. tu as dû ressentir ça pour d'autre livre surement eh bien moi c'était la première fois...
RépondreSupprimerBisous et merci de m'avoir lu.. :)
>>>Ana (:))
PS: J'adore ton "blog" !! :)
Coucou ! Tout d'abord merci pour ton commentaire et pour avoir pris le temps de faire un tour sur mon blog :)
SupprimerJe ne connais pas les livres de Nicholas Sparks, mais c'est vrai qu'il y a d'autres livres déjà parus sur une ado cancéreuse dont Je veux vivre (qui pour moi a été un énorme coup de cœur.) et je crois bien que c'est le premier livre a m'avoir vidée et m'avoir fait pleurer autant.
Je ne pense pas avoir déjà lu un livre en deux jours, quand j'adore j'avance lentement histoire de faire durer le plaisir... Bisous à toi et reviens faire un tour quand tu veux !